Articles populaires – Cineflower

30 novembre 2011

Drive (Nicolas Winding Refn, 2011)

On y était presque. Certes, Drive force immédiatement l'admiration et forme un sacré bout de pelloche comme on n'en voit que trop peu. Certes, le geste y est encore plus maîtrisé que dans Bronson , probablement sous-estimé en ces lieux - en tout cas réévalué...

Posté par Ben Evans à 20:07 - Commentaires […] - Permalien [#]

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31 décembre 2011

La Grotte des Rêves Perdus (Cave Of Forgotten Dreams, Werner Herzog, 2011)

Avant la 3D ne servait à rien. Mais ça, c’était avant. Ok, un ou deux jolis plans ici, dans Avatar, ou là, dans Pina. Ce dernier montrait que peut-être, avec la 3D, le futur se conjuguait au passé – ce n’est pas une critique –. Mais Werner Herzog l’exploite...

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31 décembre 2011

Le Cheval de Turin (A Torinói Ló, Bela Tarr, 2011)

Dieu, las, se retire. On s'en attriste mais quelque part, on le comprend. Sa vision d'une humanité en pure perte va de pair avec les difficultés de production inimaginables qu'il a toujours rencontrées. Nous restent ses monuments, à la fois ancrés et...

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5 octobre 2008

3h10 pour Yuma (3:10 to Yuma, Delmer Daves, 1957)

Nos pseudos ne sauraient mentir, voici l'Elu. Il nous fallait un film fétiche pour le blog, un film que nous adorons tous les deux, qui scellerait le départ de notre aventure, si possible un western, le genre qui nous berce depuis notre enfance. Ce sera...

Posté par danetben à 16:07 - Commentaires […] - Permalien [#]

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5 octobre 2008

Mamma Mia (Mamma Mia, Phyllida Lloyd, 2008)

Le mois de septembre n'a pas été génial au niveau des nouvelles sorties. Voulant me faire un petit ciné j'ai donc été voir Mamma Mia avec juste une demi motivation (j'apprécie comme tout le monde mais sans plus les chansons d'Abba mais, tout en saluant...

Posté par danetben à 18:16 - Commentaires […] - Permalien [#]

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7 octobre 2008

Appaloosa (Appaloosa, Ed Harris, 2008)

Tout était réuni pour que je passe un bon moment : western (vous comprendrez vite que nous adorons ce genre), casting prestigieux, sujet intéressant (bien que somme toute assez classique pour ce genre), réalisateur à suivre (enfin d'après la critique,...

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10 octobre 2008

Vicky Cristina Barcelona (Vicky Cristina Barcelona, Woody Allen, 2008)

Il est rare que je m'esbaudisse devant un Wood Allen, mais point de rancœur: ce Vicky Cristina Barcelona n'est rien de moins que l'un des films les plus entraînants de l'année. Marivaudage entre adultes consentants sous le soleil torride ibérique, le...

Posté par Ben Evans à 11:25 - Commentaires […] - Permalien [#]

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12 octobre 2008

L'Homme de Londres (The Man from London, Béla Tarr, 2007)

C'est l'évènement de l'année, rien de moins: le nouveau film de Dieu sort dans les salles françaises. Hallelujah! Seulement dans une dizaine de salles, mais c'est déjà inespéré. Sa sélection au festival de Cannes 2007 y a sûrement contribué. En tout cas,...

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5 octobre 2008

Nid Familial (Csaladi Tuzfeszek, Béla Tarr, 1977)

Hongrie, années 70. Une misère pathogène. L'égoïsme comme instinct de survie. Les obsessions que Béla Tarr développe l'accompagneront tout le long de sa filmographie. Réalisateur ouvertement social, le génie en herbe prend ici pour toile de fond la crise...

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5 octobre 2008

Damnation (Karhozat, Béla Tarr, 1987)

Ca y est, Béla Tarr a trouvé sa voie, son créneau, son credo. Le langage idoine pour mettre en scène ses obsessions de toujours. Pour partager la vie quotidienne et déprimante des existences les plus banales. Le réalisateur étire ses plans-séquence pour...

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5 octobre 2008

Satantango (Satantango, Béla Tarr, 1994)

Béla Tarr n'est pas le genre d'homme à se contenter du radicalisme absolu d'une de ses œuvres, aussi parfaite fût-elle. Damnation était divin? Satantango le fera passer pour mineur, laissant la rare certitude d'un film majeur du 7ème Art. Un des plus...

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5 octobre 2008

Les Harmonies Werckmeister (Werckmeister Harmoniak, Béla Tarr, 2001)

Plus rien ne serait jamais comme avant. C'est avec Les Harmonies Werckmeister qu'à l'instar de beaucoup d'autres je découvris le cinéma de Béla Tarr (Dieu, donc). Ce fut un choc. Ces plans-séquence lents et interminables (1), cette sublime musique lancinante,...

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5 octobre 2008

The Killer (Dip huet seung hung, John Woo, 1989)

Sorti sur grand écran en 1989, ce film, qui mis près de six ans pour arriver en France, est celui qui a permis au public occidental de découvrir John Woo (et par la même occasion le cinéma de Hong Kong, dont il fut avec Tsui Hark un des principaux ambassadeurs)....

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16 octobre 2008

De l'Influence des Rayons Gamma sur le Comportement des Marguerites (Paul Newman, 1972)

Lorsque l'on demandait à Michel Audiard la raison pour laquelle il donnait toujours à ses films des titres interminables, il répondait avec malice que ça prenait plus de place dans les journaux. Ca n'a pas empêché ce film de Paul Newman de sombrer dans...

Posté par Ben Evans à 17:32 - Commentaires […] - Permalien [#]

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23 octobre 2008

Dernier Maquis (Rabah Ameur-Zaïmeche, 2008)

Le grand film social et engagé du dernier festival de Cannes n'était certainement pas Entre les Murs (1), encore moins Gomorra (2). "Seulement" présenté à la quinzaine des réalisateurs, ce Dernier Maquis vaut pourtant bien mieux que ces sélections officielles....

Posté par Ben Evans à 20:23 - Commentaires […] - Permalien [#]

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3 novembre 2008

Quantum of Solace (Marc Forster, 2008)

Sorti il y a maintenant 2 ans, le précédent opus de la saga James Bond, Casino Royale, avait agréablement surpris la critique et le public en se recentrant sur le matériau d'origine, à savoir les romans de Ian Flemming. Un James Bond donc plus humain,...

Posté par Dan Wade à 11:38 - Commentaires […] - Permalien [#]

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5 octobre 2008

L'Assassinat de Jesse James par le Lâche Robert Ford (Andrew Dominik, 2007)

Il y a quelques années, un Open Range de très bonne facture avait célébré la résurgence du western classique. On devait ce présent à un véritable amoureux du genre, Kevin Costner. Avec The Assassination of Jesse James by the Coward Robert Ford, c'est...

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12 novembre 2008

Quatre Nuits avec Anna (Cztery Noce Z Anna, Jerzy Skolimowski, 2008)

On pensait avec My Name is Hallam Foe tenir le film le plus inclassable de l'année. Que nenni. Autre film sur le voyeurisme (1), autre film d'un érotisme glaçant et dérangeant, Quatre Nuits avec Anna lui dame in fine le pion, au gré d'une construction...

Posté par Ben Evans à 18:57 - Commentaires […] - Permalien [#]

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13 novembre 2008

Hellboy II, les légions d'or maudites (Hellboy II : The Golden Army, Guillermo del Toro, 2008)

Tony Stark a du souci à se faire. Le super-héros le plus cool de l'année (et du cinéma) voit débouler avec fracas son adversaire le plus occulte, le Mc Lane des enfers, Hellboy. Robert Downey Jr a trouvé avec le formidable Ron Perlman un adversaire à...

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5 octobre 2008

Le Labyrinthe de Pan (El Laberinto del Fauno, Benicio del Toro, 2006)

Le Labyrinthe de Pan est terriblement frustrant. C'est juste un (très) bon film, alors que ses qualités plastiques laissaient augurer tellement plus. Croisement improbable presque parfaitement réussi entre drame historique et conte enfantin, Le Labyrinthe...

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9 décembre 2008

Comme une Etoile dans la Nuit (René Féret, 2008)

Le mérite-t-elle vraiment? Une semaine après Une Famille Chinoise, la maladie est de nouveau à l'honneur. L'occasion nous étant donnée, il peut être intéressant de comparer les deux long-métrages, ceux-ci proposant un traitement radicalement opposé l'un...

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9 décembre 2008

L'Apprenti (Samuel Collardey, 2008)

A l'instar d'Une Vie Moderne, L'Apprenti commence par une arrivée et se conclut par un départ. Entre les deux, une parenthèse champêtre, dans des contrées qui cultivent le paradoxe de sembler hors du temps et du monde alors qu'elles en sont le centre...

Posté par Ben Evans à 18:53 - Commentaires […] - Permalien [#]

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10 décembre 2008

L'Art de la Pensée Négative (Kunsten å tenke negativt, Bard Breien, 2008)

Evoquer les handicapés requiert toujours de s'y prendre avec des pincettes. C'est d'ailleurs un sujet extrêmement peu abordé au cinéma. Mélodrame dégoulinant, misérabilisme piteux, démagogie primaire, comédie indécente, les icebergs imposants et nombreux...

Posté par Ben Evans à 20:19 - Commentaires […] - Permalien [#]

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10 décembre 2008

Pour Elle (Fred Cavayé, 2008)

Le pitch de Pour Elle laissait espérer un bon polar à la française, psychologique et torturé; l'amour est-il plus important que la justice? Doit-on condamner tout acte criminel, fût-il un élan d'amour? Ou peut-on tout se permettre pour le grand A....?...

Posté par Ben Evans à 20:23 - Commentaires […] - Permalien [#]

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5 octobre 2008

La Vie est Belle (It's A Wonderful Life, Franck Capra, 1946)

Ne pas confondre ce petit concentré de bonheur de Franck Capra avec l'horrible film homonyme de Roberto Begnigni, qui aurait pu avoir la décence d'appeler son "machin" autrement, le saligaud (je sais, c'est gratuit, car le titre en VO est différent; ce...

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